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4.9.17

ᚾ - 9 FILMS DONT JE NE ME LASSE PAS.

J'ai bel et bien décidé de reprendre ce blog en main. Aujourd'hui, je partage avec vous neuf films que j'apprécie de voir et de revoir. J'ai volontairement omis les films tels que le Seigneur des anneaux, les Marvel, les films de Schwarzenegger ou encore les HP, même si j'ai dû me retenir d'y intégrer le premier Avengers, qui est une merveille selon moi. La liste n'est pas dressée en fonction de mes préférences.



9. TAKEN - Pierre Morel (2008)


Je ne l'aurais pas cru la première fois que j'ai vu ce film. Mais lorsque j'ai acheté le dvd après sa sortie, je l'ai visionné trois fois d'affilé dans la soirée. C'est une histoire qui se laisse regarder, l'action et le suspense ne laissent pas de répit. Nous passerons sur les faits peu réalistes du récit, c'est un bon film, le thème est une malheureuse réalité de notre époque et de nos contrées.

8. Death becomes her - Robert Zemeckis (1992)


C'est l'un des films que j'ai dû voir en boucle durant mon enfance, comme beaucoup d'autres de cette liste. Teinté d'un humour noir que je n'assimilais pas comme tel étant jeune, j'ai toujours été fasciné par l'atmosphère de ce film culte. La Bande originale, composée par Alan Silvestri, me rappelle l'essence de ces compositions de l'époque, chaque fois que je l'écoute, très illustrative, à mon sens.



7. Powder - Victor Salva (1995)


Voilà un récit qui s'est plus qu'imprimé en moi. Il évoque plusieurs thèmes, à commencer par la différence. Powder est l'histoire d'un jeune homme, Jeremy, qui a grandit isolé dans la maison de ses grands parents. Lorsque ses derniers décèdent, il est retrouver par Le shérif. Avec le soutien d'une psychologue, il est décidé Jeremy se retrouve dans un foyer et intègre peu à peu la société.
Il parait très vite évidemment que Jeremy ne s'adapte nullement à son nouveau monde. Le jeune est une sphère, lisse, logique et pétri d'abnégation. Le monde carré et brute auquel il tente de s'adapter ne fait l'écorcher tant bien il tente de s'y conformer. J'ai souvent eu le sentiment que ce film dépeignait avec brio l'émotion complexe de la solitude, lorsqu'elle est générée par la différence. Cette sensation si particulière de ne pas se sentir connecter avec la réalité matérielle des autres, au conditionnement sociétal, mais avec plutôt au réel qui demeure tout autour.
Bien avant l'adaptation de La ligne verte, Powder démontre la brutalité du monde face aux êtres innocents, souvent bien plus pragmatiques que leurs contemporains.
Powder, un film que je recommande à plus d'un titre.



6. Empire Records


Ça, c'est une petite pépite. Du bonheur en barres et des délires à gogo. un film des années 90 comme il faut, à voir en boucle encore et encore, le tout filant sur une bande son des plus appréciables. Empire records conte l'aventure quotidienne d'un groupe de jeunes bossant dans un magasin de disques. On retrouve un casting d'acteurs incroyables (aujourd'hui bien adultes) interprétant une suite d’imbroglios plus fun les uns que les autres, avec sa pointe de dramaturgie qui va bien.


5. Love Actually - Richard Curtis (2003)


À mon sens, Richard Curtis est aux comédies/romantiques ce que Ken Loach est aux fresques historiques et sociales. Je regarde ce film à presque chaque Noël. Cliché ? Qu'importe, c'est le genre de film qui met le sourire, ne prend pas la tête sans être superficiel pour autant et se trouve être so british comme que j'aime. Le cinéma britannique est moi, c'est une grande histoire d'amour et les films de Richard Curtis, c'est quelque chose, croyez moi ! Il maitrise son sujet à fond et ce film en est un parfait exemple.


4. Braveheart - Mel Gibson (1995)


Complétement anachronique et bourré de fautes historiques, ce film n'en demeure pas moins culte et savoureux. Quel bonheur de voir des Écossais botter le cul des Anglois, ennemis de tous et de toujours. Si Braveheart n'est pas une référence historique en soi, c'est un symbole percutant et signe l'aspect héroïque de figures illustres d'un autre temps.


3. The cabin in the woods - Joss Whedon (2012)


Généralement, quand je vois Joss Whedon inscrit sur l'affiche, je fonce les yeux fermés. Je suis le parfait disciple de ce réalisateur qui a volé mon âme à 9 ans (Buffy, si tu nous écoutes). La cabane dans les bois, qu'est ce que c'est ? Un parfait What the fuck aux petits oignons, déboitant les clichés de films d'horreur en vous les resservant comme il se doit. Avec une intelligence subtile. Sir Whedon quoi !

2. The Crow - Alex Proyas (1994)

Je crois que je n'ai jamais vu de film d'amour avant de voir The Crow. Pour ceux qui connaissent ce film, vous êtes probablement en train de vous dire que je suis barge, quand il est question d'un type déguisé en clown qui zigouille à la chaîne. C'est ma vision du film, autant les passages à tabac sont fun et jouissif, autant les petits moments de calmes symboliques qui évoquent le passé d'Eric Draven sont parlants. Marquant, voir, tout aussi percutant que la violence intrinsèquement liée au film tout du long.

Il n'est pas question d'une banale histoire de vengeance, mais bien de justice post-mortem, pour le compte de ce qu'on dénigre bien trop souvent par pudeur imbécile: l'amour.


1. Dragon's heart - Rob cohen ( 1996)


Je me souviens encore du doublage français avec la voix si particulière de Philippe Noiret. Quand je lève les yeux sur la voute piquée d'étoiles, il m'arrive de penser à cette fin mémorable qui sait toujours me tirer les larmes. Ce film, comme Willow l'avait fait avant lui, a su me transporter dans son univers médiéval fantastique de par sa qualité et les valeurs de justice qu'il tend à démontrer. J'ai dû visionner Coeur de dragon des centaines de fois enfant, usant ma VHS jusqu'à la lie, en récitant l'ancien code avec Draco et Bowen. Émotionnellement, ce film à marqué mon âme d'enfant.

Un chevalier obéit à des valeurs
Son cœur ne connait que la vertu
Son épée défend les démunis
Son bras protège les faibles
Sa bouche méprise le mensonge
Sa colère déjoue les tours du malin







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